Avec Orca, on peut utiliser certaines variables pour définir le nom du fichier gcode final. Voici une liste. Si vous en trouvez d’autres, envoyez-les moi, je mettrai la liste à jour.
Le paramétrage se fait dans l’onglet “Others” > “G-code output” > “Filename format”
- [layer_height] : hauteur de la couche
- [filament_diameter] : diamètre du filament
- [filament_type] : type de filament
- [nozzle_diameter] : diamètre de la buse
- [print_time] : temps d’impression estimé
- [input_filename_base] : nom du fichier en entrée (sans extension .gcode)
- [input_filename] : nom du fichier en entrée (avec extension .gcode)
- [support_type] : type de support
- [brim_type] : type de bordure
- [seam_position] : position de la couture
- [ironing_type] : type de lissage
- [wall_generator] : générateur de murs
- [make_overhang_printable] : rendre les porte-à-faux imprimables (sans support)
Exemple :
[input_filename_base]-[print_time]-[support_type].gcode"
donnera :
fichier test-10m56s-tree(auto).gcode
Remarques
- les variables doivent être entre crochets
- les commutateurs affichent 0 s’ils ne sont pas cochés et 1 s’ils le sont. Par exemple [make_overhang_printable] donnera 0 s’il n’est pas actif et 1 s’il l’est. Pour s’en souvenir plus tard, il peut-être utile de mettre un texte avant. Par exemple “overhang_print:[make_overhang_printable]”, ce qui donnera un nom de fichier avec “overhang_print:0”